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LES CHOIX
A première vu les choix que nous faisons viennent bien de notre réflexion, de notre propre déduction, de nos expériences donc de notre mental. Ils peuvent s’appuyer sur nos contentements, lorsque par exemple quelque chose nous fait plaisir, alors nous allons dire oui. Bien entendu sur nos déceptions, lorsque quelque chose ne nous fait pas plaisir alors nous refusons. Tout cela est du tangible. Bien sûr, il y a des nuances entre ces deux extrêmes et nous avons aussi des nuances dans nos choix, qui sont plus ou moins mitigés… ex: « Non mais il manque ça…. », « Oui mais là c’est pas pareil… » etc.
Pour ces deux extrêmes, oui et non, à première vue on trouve ces choix normaux car nous croyons que c’est le oui et le non qui est bien à nous. Et c’est normal.
Bien sûr, nous pouvons aussi être imperméable aux évènements, aux situations de la vie et ainsi croire que nous prenons seul(e) nos décisions, qui seront bien réfléchies, ne seront pas empruntes de manipulation, que nous avons pesé le pour et le contre etc.
Je ne vous cache pas que depuis notre naissance nous ne cessons d’être influencés par le monde dans lequel nous vivons, avec plus ou moins de modifications importantes. Un seul son, une seule phrase, un seul regard peut nous modeler dans des compréhensions, dans des paroles, dans des croyances, dans des sons qui sortent de notre bouche, dans des voies ou des chemins de notre vie, dans des attitudes et des réflexes que nous ne soupçonnons pas. Parce que c’est à la mode ou encore cela me permet d’être reconnu ou me permet de me sociabiliser ou encore d’appartenir avec le sentiment de faire partie de quelque chose de différent.
Je fume, j’emploie des mots différents parce que les autres le font. Ma prononciation se modifie parce que appuyer sur les R ou encore employer une autre langue à la place de certains mots va me permettre de me distinguer des autres ou m’intégrer dans un groupe, me faire connaître, me faire reconnaître etc. etc. Ce sont les choix que nous faisons.
Et même une rencontre ou ne serait-ce qu’être en présence d’une personne, nous allons être modifié. Situation inconsciente pour les personnes qui ne se soucis pas du monde de l’invisible et des interactions entre les choses, les personnes vivantes, les évènements, mais ce sera notre capacité énergétique qui va définir notre retour à notre énergie originelle.
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Programmation Liberté
Bonjour à toutes et tous,
J’avais déjà effleuré le sujet dans quelques articles, mais je voulais y revenir pour développer un point vraiment important. Comme la programmation touche énormément de facettes de l’esprit, elle modifie également nos croyances et donc notre vision du monde extérieur et bien entendu notre monde intérieur. Nous sommes enchainés dans nos croyances pensant que celles ci sont la vérité, le chemin que nous devons suivre. En effet, notre environnent, et cela depuis notre petite enfance, façonne nos choix, nos préférences, nos croyances ; pratiquement notre personnalité tout entière. C’est pour cela que nous devons poser un regard profond sur ce qui nous compose pour le bien de notre liberté.
Les stimuli de l’environnement façonnent également nos pensées, nos émotions, nos élans, nos choix bien sûr, mais cela va jusqu’à notre intimité légère et profonde, notre vibration. Notre manière d’aimer, de se faire aimer et d’aimer les autres. Le travail de reprogrammation de ces attachements demande une présence à soi, une vigilance et surtout d’être centré sur nous même afin de reconnaitre, de sentir ce qui nous appartient et ce qui ne nous appartient pas.
Prenons par exemple les mots. Nous sommes programmés par les mots. Les mots ont d’abord une signification et il est préférable de s’en informer avant de les employer à la place d’autres. Car ils sont porteurs de vibrations bien établies. Avant de rattacher une émotion à un mot qui n’a pas la bonne signification, car les mots sont aussi rattachés à des émotions, des sentiments, des réactions et de ce fait à des actions, des choix que nous faisons, nous devons sentir la fluidité de chaque mot que nous prononçons pour savoir s’ils sont en accord avec la situation et être bien certain de leur signification. Les mots ont une percée significative dans notre être et lorsqu’ils sont employés dans un mauvais sens, ils provoquent de faussent croyances. Ceux-ci provoquent également des altérations, des distorsions dans notre communication, dans notre être, dans notre vibration.
Pour ceux qui baignent dans les intuitions en ressentant pas mal de choses généralement autour de soi, il arrive que nous pouvons connaître l’issue ou le fort potentiel d’une situation avant même qu’elle ne se passe. Donc fort potentiel, d’une situation qui n’est pas encore arrivée. Ce n’est juste qu’une force en mouvement, qui de par sa mise en œuvre devient un potentiel de réalisation. Pour nous et à la première lecture cette issue devient immuable sans équivoque. Cela devient une évidence que cette situation doit être ou peut-être atteinte.
Pour les personnes qui ne sont pas habituées aux nombreuses variations des énergies en mouvements. ces évidences ne sont pas une obligation d’être vécu. Nous savons que nous devons patienter pour que la finalité, le taux vibratoire, l’énergie, les énergies, doivent arriver à leur terme pour que ce ressentis soit réalisée. Mais il peut y avoir des modifications. Nous sommes tellement pris par cette création et cette mise en mouvement car parfois tellement forte et présente, que nous y croyons. Nous nous faisons happer par ce vortex. De ce fait nous pensons que c’est une prochaine vague de vie, que nous sommes concernés et nous mettons tout en œuvre pour la faire jaillir ou dans tous les cas pour y participer ou même pour la vivre.
Par exemple lorsque nous rencontrons une personne avec laquelle nous avons beaucoup d’affinité.
Dans l’observation, tout le chemin que nous menons avec patience, si nous attendons, ce chemin, cette voie, nous fait travailler dans le non attachement, la non dépendance. Nous fait travailler aussi parce que nous sommes dans une démarche de résultat. Le but à atteindre. Ça y est on vient de nous montrer là où l’on doit aller. Mais parfois ceci est une tromperie. Cette observation est un temps qui nous permets de descendre l’importance qui n’en a pas besoin d’autant.
Quoi qu’il se passe, quoi que cela implique, quoi que cela demande, nous devons rester ancrés au présent et non pas dans cette démarche de résultat. Sans quoi notre esprit sera submergé par cette mise en mouvement. souvenez-vous, nous attirons ce que nous vibrons.
Encore une fois, ce n’est pas parce que nous ressentons quelque chose que nous devons mettre tout en œuvre pour que cela se réalise. Que nous devons systématiquement aller là où ça bouge. Nous sommes multiples certes, nous sommes reliés avec plusieurs centres et nous travaillons avec et dans plusieurs dimensions. Une chose importante, malgré cela, nous devons rester ancrés, nous devons rester dans cette dimension car c’est depuis là que nous devons expérimenter, c’est là qu’est notre âme, c’est là qu’est notre choix.
Tant que les gens suivront des écrits ou des dires de couloirs (untel à dit ceci ou cela) sans en contrôler la véracité, la justesse, avec leur cœur, leur réflexion intérieure et leur intimité profonde, le côté obscur sera présent avec toutes ses variantes.
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Laisser passer
Pour ceux qui baignent dans les intuitions en ressentant pas mal de choses généralement autour de soi, il arrive que nous pouvons connaître l’issue ou le fort potentiel d’une situation avant même qu’elle ne se passe. Donc fort potentiel, d’une situation qui n’est pas encore arrivée. Ce n’est juste qu’une force en mouvement, qui de par sa mise en œuvre devient un potentiel de réalisation. Pour nous et à la première lecture cette issue devient immuable sans équivoque. Cela devient une évidence que cette situation doit être ou peut-être atteinte.
Pour les personnes qui ne sont pas habituées aux nombreuses variations des énergies en mouvements. ces évidences ne sont pas une obligation d’être vécu. Nous savons que nous devons patienter pour que la finalité, le taux vibratoire, l’énergie, les énergies, doivent arriver à leur terme pour que ce ressentis soit réalisée. Mais il peut y avoir des modifications. Nous sommes tellement pris par cette création et cette mise en mouvement car parfois tellement forte et présente, que nous y croyons. Nous nous faisons happer par ce vortex. De ce fait nous pensons que c’est une prochaine vague de vie, que nous sommes concernés et nous mettons tout en œuvre pour la faire jaillir ou dans tous les cas pour y participer ou même pour la vivre.
Par exemple lorsque nous rencontrons une personne avec laquelle nous avons beaucoup d’affinité.
Dans l’observation, tout le chemin que nous menons avec patience, si nous attendons, ce chemin, cette voie, nous fait travailler dans le non attachement, la non dépendance. Nous fait travailler aussi parce que nous sommes dans une démarche de résultat. Le but à atteindre. Ça y est on vient de nous montrer là où l’on doit aller. Mais parfois ceci est une tromperie. Cette observation est un temps qui nous permets de descendre l’importance qui n’en a pas besoin d’autant.
Quoi qu’il se passe, quoi que cela implique, quoi que cela demande, nous devons rester ancrés au présent et non pas dans cette démarche de résultat. Sans quoi notre esprit sera submergé par cette mise en mouvement. souvenez-vous, nous attirons ce que nous vibrons.
Encore une fois, ce n’est pas parce que nous ressentons quelque chose que nous devons mettre tout en œuvre pour que cela se réalise. Que nous devons systématiquement aller là où ça bouge. Nous sommes multiples certes, nous sommes reliés avec plusieurs centres et nous travaillons avec et dans plusieurs dimensions. Une chose importante, malgré cela, nous devons rester ancrés, nous devons rester dans cette dimension car c’est depuis là que nous devons expérimenter, c’est là qu’est notre âme, c’est là qu’est notre choix.
La fin d’une histoire ça n’existe pas.
il y a seulement un moment où on quitte le récit.
Prenez conscience que votre vie c’est votre histoire. Tout est votre histoire.
Pendant 50 ans de ma vie j’ai passé le temps à courir après le bonheur, la reconnaissance, les plaisirs, l’amour, les gens, l’argent et j’étais finalement triste. Je n’ai surtout rien trouvé de semblable. Tout au plus des avants goûts, des miettes de toutes ces croyances. Dans tous les cas, beaucoup d’énergie a été dépensée pour finalement m’épuiser.
Aujourd’hui, je me suis arrêté et je pense que j’ai une forme de bonheur qui naît en moi. Je me sens plus léger, de moins en moins attaché. Mais il suffit parfois de le dire, pour que la vie vous rappelle à la vigilance de ce à quoi vous croyez être éloigné.
Vous ne pouvez pas savoir aujourd’hui ce que vous deviendrez.
N’essayez pas de tout maîtriser. Laissez-vous porter. C’est là, que ça devient intéressant si vous conservez votre esprit clair.
Oh je sais, je peux encore à tout moment me laisser prendre par les tourments de la vie.
Mais il y a tant à toucher, à percevoir, à ressentir, à observer, à regarder, à écouter et à se laisser cueillir.
N’essayez pas d’aller chercher, laisser venir et observez.
Si la vie vous montre quelque chose, quelqu’un, un lieu, un moment, un instant et, que vous vous sentez appelé, alors faites du mieux que vous pouvez.
Parce que comme je l’ai entendu un jour, le temps est un présent éternel.
Faire tremper les algues sèches pour les réhydrater (Wakamé, Aramé haricots de mer, Kombu, Dulse, Laitue de mer)
Les couper grossièrement et les mettre dans le bocal du mixer avec un bouquet de persil finement coupé
une gousse d’ail,
une grosse poignée de noix,
Gros comme une noix d’oignon et d’échalote
deux à trois petits cornichons dans le vinaigre et une cuillère à soupe de câpres
une petite cuillère de moutarde
un peu de Miso ou de tamari
1 cuillère à soupe de jus de citron
1 cuillère à soupe d’Huile d’olive
Mixer l’ensemble
1 belle laitue
3 tomates
Un oignon coupés en tranches
Un demi concombre coupé en tranches minces
3 gousses d’ail
1 poignée de feuilles de menthe
sel, olives noires, basilic, huile d’olive, citron
Feta de noix de cajou
1 gros bol de quinoa germé
1 oignon ou 2 échalotes
Une poignée d’olives noires
2 tomates (« cornue des Andes »)
Basilic, ciboulettes, cébettes, herbes italiennes, marjolaine, origan à volonté
Vous pouvez présenter cette salade de multiples façons :
soit directement dans le saladier
Soit aussi dans des feuilles d’endives ou de salade verte
Rappelez-vous que les graines germées sont au minimum 20 fois plus riches
En protéines que la viande, 4 fois plus riches en calcium que les produits laitiers
Et 3 fois plus riches en fer que le foie d’animal.
Alors n’hésitez pas, usez en pour votre plus grand bien !
Mettre au moins trois ou quatre cuillères à soupe de graines germées
par personne dans un saladier
Ajouter un beau bouquet de persil
un peu de basilic ou de fines herbes au choix finement coupés
Un demi oignon ou une échalote également finement coupés,
Une ou deux tomates coupées en petits morceaux
Quelques olives noires
Jus de citron
du sel ou du tamaris
Éventuellement une poignée de raisins secs ou une cuiller de miel.
Si désiré, ajouter un peu de papaye, d’oranges, de pommes ou de poires, selon vos goûts
Vous pouvez ajouter un brin de piment si vous l’aimez et votre salade n’en sera que meilleure
Ajoutez une grosse poignée d’algues réhydratées
Mettre au moins trois ou quatre cuillères à soupe de graines germées
par personne dans un saladier
Ajouter un beau bouquet de persil
un peu de basilic ou de fines herbes au choix finement coupés
Un demi oignon ou une échalote également finement coupés,
Une ou deux tomates coupées en petits morceaux
Quelques olives noires
Jus de citron
du sel ou du tamaris
Éventuellement une poignée de raisins secs ou une cuiller de miel.
Si désiré, ajouter un peu de papaye, d’oranges, de pommes ou de poires, selon vos goûts
Vous pouvez ajouter un brin de piment si vous l’aimez et votre salade n’en sera que meilleure
Émincer les champignons que vous aurez rapidement passés sous le robinet et essuyés,
Ajouter un peu d’ail et de persil
Sel
Jus de citron,
La chair d’un demi ou d’un avocat
2 Cuillères à soupe d’huile d’olive
Remuerez juste avant de servir
Un bol de légumes lacto-fermentés, vous pouvez trouver de la choucroute cru ou vous pouvez le faire vous même.
Un avocat
Un peu d’échalote
Un peu d’oignon
Persil
Estragon
Ciboulettes au choix ou anis vert ou cumin
Sel
Jus de citron
Ajoutez quelques olives ou cerneaux de noix
Râper quatre à cinq belles carottes
Ajouter le zeste de 2 oranges (les zestes sont la partie orange de la peau, juste avant le blanc)
Couper les oranges en petits morceaux
Ajouter la chair d’un avocat bien mur
Quelque cuillères d’huile de noix ou de tournesol ou olives
Ajouter des feuilles de menthe coupées et quelques feuilles entières sur la surface du plat
Trancher finement le melon
Saupoudrer le de sel, de poivre et de zeste de citron frais
Ajouter des feuilles de menthe entières ou finement coupées
jus de citron et filet d’huile d’olives.
Couper les concombres et l’oignon en fines tranches
Ajouter un avocat coupé finement, du sel, du jus de citron et 5 à 10 feuilles de menthe entières ou finement coupées.
Spaghettis
Passer trois ou quatre courgettes à la machine à spaghettis
Massez les avec un peu de paprika et d’huile d’olives pour leur donner l’aspect de pâtes cuites
Sauce bolognaise
Mettre 3 poignées de noisettes dans le bocal du mixer,
1 poignée de raisins secs,
1 poignée de tomates séchées
plus une tomate fraîche que vous mixerez
avec quelques cuillers à soupe d’huile d’olive, 4 gousses d’ail, un demi oignon moyen,
du sel ou du tamaris plus un gros bouquet de basilic, d’origan et d’herbes italiennes.
Mixer le tout et régalez vous.
Ajouter 2 tomates fraîches à la sauce bolognaise que vous mixerez ensemble et verserez au centre du plat de spaghettis
Mélanger en les servant
Mixer
3 poignées de noisettes
1 poignée de raisins secs
1 poignée de tomates séchées
plus une tomate fraîche
Quelques cuillères à soupe d’huile d’olive
4 gousses d’ail
Un demi oignon moyen
du sel ou du tamaris
Un gros bouquet de basilic, d’origan et d’herbes italiennes.
Mixer le tout
150 g de noix de Grenoble,
2 à 3 poivrons rouges coupés en morceaux
Demi oignon
4/5 tomates séchées si possible trempées jusqu’à ce qu’elles soient tendres
1 cuillère à soupe de tamaris
1 pincée de sel et poivre
Mixer l’ensemble des ingrédients jusqu’à l’obtention d’une purée homogène