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LES SONS
Le corps est son.
Le placement de la voix, trop haut, trop bas, modifie le corps intérieur. La montée de stress fait monter la voix pour certaines personnes et la fait descendre pour d’autres. Lorsque nous ne sommes pas « bien placés dans notre son » nos organes internes s’en trouvent modifiés. Et lorsque nos organes internes ne sont pas alignés, notre voix se modifie. Notre voix est très importante et reflète notre intérieur. Même notre respiration lorsqu’elle est non maîtrisée et c’est notre intérieur qui s’en trouve modifié.
De même que notre respiration, lorsqu’elle n’est pas guidée par le stress de notre corps, apporte un bien être qui va au delà de ce que nous pouvons imaginer, la voix peut aussi être un vecteur et être un facteur de bien être. Ce n’est pas parce que nous respirons vite que ce n’est pas bon. Et ce n’est pas non plus parce que nous avons une respiration lente que nous allons pouvoir nous débarrasser de notre stress. L’un comme l’autre deviennent un extrême pour notre corps, lorsqu’ils ne conviennent pas au fonctionnement de notre corps. Il en est de même pour la hauteur de notre voix mais aussi pour la puissance de notre voix. Ainsi, poser une écoute sur soi lorsque nous parlons peut nous révéler beaucoup de choses.
Un exercice simple est d’enregistrer notre voix. Les smartphones d’aujourd’hui peuvent être des outils pratiques. Le dictaphone est une application souvent de base sur nos téléphones et il est très facile de le mettre en fonction. Sans smartphone, vous avez de simples enregistreurs dans tous les bons magasins. Enregistrez-vous lors de vos conversations et écoutez-vous bien. Écoutez le niveau de votre voix par rapport aux autres personnes, écoutez le stress dans votre voix mais aussi la douceur, la féminité, la masculinité, la puissance que vous mettez dans votre voix, les mots que vous employez et de quelles manières vous les employez et surtout comment vous les dîtes, comment sont formées vos phrases. Par exemple, est-ce que vous appuyez sur certaines syllabes ? Parlez-vous avec douceur ou au contraire avez vous un ton de voix plutôt directif ? Et dans quel cas votre ton directif ou votre douceur s’exprime ? Ceci peut devenir une mine d’or pour vous et pour votre chemin de compréhension de qui vous êtes. De ce que vous véhiculez comme sensations ou comme énergie, comme vibration… Continuer la lecture
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Peur de Bien faire
Souvent nous faisons des choses sans que nous sachions ce qui nous conduit profondément. La peur de bien faire est assez subtile dans notre choix d’appréhender les situations. Même dans nos choix de nous faire plaisir, de nous offrir une certaine tendresse et aussi dans le choix de notre partenaire.
Vouloir bien faire est tout à fait légitime mais vouloir, par le simple fait d’avoir peur de mal faire et de perdre une certaine reconnaissance extérieure, de perdre une certaine puissance, de perdre une certaine assise sociale, peuvent nous conduire dans des mal-êtres souvent inconscients.
Pour chaque situation nouvelle, je me pose la question :
« Qu’est-ce qui me conduit, me dynamise, me guide, là maintenant ?
L’apprentissage, l’ouverture, la curiosité, le bien être, la fluidité, la sérénité
ou le besoin d’être au top, le besoin de bien faire, le besoin de montrer, de faire voir ? »
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MessagedEte.mp3
Afin de comprendre au mieux la souffrance, il faut, tout d’abord, nous plonger dans comment notre esprit peut comprendre les situations que nous vivons au quotidien et, comprendre comment notre esprit peut les appréhender. Il y a plusieurs catégories de compréhension et d’appréhension suivant la nature de ses situations.
La première catégorie de situation :
Ce dont nous pouvons faire l’expérience direct, donc l’évidence, qui nous permet de vivre directement la situation sans réfléchir et sans nous soucier d’une quelconque compréhension ou appréhension.
Par exemple : Lorsque nous entendons un son, lorsque nous goutons quelque chose, ça c’est pour la perception des objets extérieurs. Également pour ce qui est des sensations intérieures, la sensation de joie ou de souffrance ou une sensation neutre. Tout cela on peut l’apprécier directement.
Autre exemples: Si notre intention est correcte ou déplacée. C’est à dire si nous avons une mauvaise intention ou une bonne intention.
Tout cela, nous pouvons en faire l’expérience directe.
La deuxième catégorie de situation :
Après avoir fait un certain examen de cette situation, après avoir eu une certaine réflexion, soit par déduction donc plus poussée, parce que la situation n’est pas évidente à première vue, mais que cette situation reste accessible à notre analyse et cela nous permet d’arriver à la compréhension de la situation.
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synesthésie.mp3
Définition wikipédia:
« La synesthésie (du grec syn, avec (union), et aesthesis, sensation) est un phénomène neurologique par lequel deux ou plusieurs sens sont associés. Par exemple, dans un type de synesthésie connu sous le nom de synesthésie « graphèmes-couleurs » (qui représenterait 64,9 % des synesthésies), les lettres de l’alphabet ou nombres peuvent être perçus colorés. Dans un autre type de synesthésie, appelée « synesthésie numérique », les nombres sont automatiquement et systématiquement associés avec des positions dans l’espace. Dans un autre type de synesthésie, appelé « synesthésie de personnification ordinale/linguistique », les nombres, jours de la semaine, mois de l’année évoquent des personnalités. Dans d’autres types de synesthésie, la musique et d’autres sons peuvent être perçus colorés, ou ayant une forme particulière.
……
Alors que des métaphores exprimant un croisement de sens sont parfois qualifiées de « synesthétiques », une vraie synesthésie d’origine neurologique est involontaire et concernerait une personne sur 23, soit environ 4 % de la population. Il est toutefois difficile de quantifier précisément le nombre de personnes véritablement synesthètes dans une population donnée, cette notion étant subjective car basée sur la perception personnelle. Si certaines personnes peuvent ignorer leur synesthésie (car vivant avec depuis toujours sans le savoir), d’autres peuvent se déclarer synesthètes sans l’être véritablement, ou à des degrés considérablement plus faibles que d’autres personnes, s’approchant d’une perception « normale ». »
En d’autres termes, beaucoup de personnes se trouvent dans ce cas. Quelques unes associent une ou deux « sensations », leur apportant des informations importantes dans leur vie quotidienne, un plus non négligeable. D’autres en associent plusieurs sens et jusqu’à obtenir, même, une forme de complétude. Les situations vécues ne sont pas simplement des aléas, des évènements, et chaque sens se mêlant aux autres offrent une vision, un sentiment, une perception et donc une complémentarité et surtout donnent une vision détaillée et globale menant à la justesse et parfois même à la clairvoyance. Continuer la lecture