Nous avons tous des liens avec les objets, les plantes, les animaux, les êtres humains, les parties plus subtiles de notre vie comme les ambiances, les couleurs, les sons, la nature etc.. la liste est longue et il serait fastidieux de l’énumérer ici.
En résumé, il s’agit de notre environnement complet, complexe, qui agit sur notre manière de vivre, d’être, de donner, de recevoir, de partager etc. Nous regardons entre 1 et 10% de notre environnement. C’est à dire que nous posons un regard sur très peu de chose qui se passe autour de nous et en nous. De plus, nous ne sommes pas observateur, neutre, mais nous nous fondons dans cet environnement. Ainsi nous portons des énergies, de l’information, des ressentis, des émotions, qui sont obsolètes. Qui appartiennent à des situations qui paraissent terminées ou que nous croyons terminées.
Poser le regard avec une ouverture complète, c’est à dire ouvrir nos ressentis, nos perceptions sur chaque chose ou les évènements passés et présent et, sentir, percevoir si le cycle est bel et bien fini, fermé, passé et intégré dans notre être.
Auquel cas, le rappel se fera dans la neutralité la plus complète.
Nous pouvons même poser le regard sur la phrase que nous venons de dire, pour ressentir les « effets » que nous venons de créer ! et regarder si un ajustement doit être posé pour terminer le cycle mis en mouvement. C’est comme une musique…
Vous verrez que lorsque nous pratiquons le rappel, les souvenirs, nous avons une ou plutôt même des attaches, des accroches, à ces situations. Nous avons rattaché des émotions plus que moins bien gérées, nous avons comblé avec des gravas de souffrance ce terrain, et recouvert le tout avec de la fuite.
Cela fonctionne avec les situations, les évènements, mais aussi avec tout notre environnement et y compris les personnes. Ces liens, lorsqu’ils sont emplis d’émotions, de quelque chose, même infime, que nous avons posé (une espèce de traqueur), font partis de notre vibration, de notre état d’être.
Comme chacun le sait, nous attirons ce que nous vibrons !
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La perception de l’autre est un peu ardue lorsqu’on cherche à la stabiliser. Normal, il n’y a rien à stabiliser, rien à retenir, à freiner, puisque tout change, tout est mouvement. La perception de l’autre est toujours suivant notre vérité, notre regard. Normal puisque nous vivons au travers de notre filtre mental, de nos 5 sens en superficialité, et ne voyons pas des situations mais bien des problèmes, des pensées et des émotions que nous gérons plus ou moins bien. Ou encore le plus souvent, exprimons de la gêne ou du plaisir, le j’aime, j’aime pas etc… Cela crée notre propre réalité et nous croyons que celle-ci est la réalité de tous les mondes. Et pourtant. Percevoir l’autre, c’est entrer dans l’univers du réel, l’univers du choix conscient, du choix du bien être. L’univers de la micro interrelation, l’infiniment petit et grand de l’inter-échange énergétique. Cet échange subtil, défini un ensemble de paramètres énergétiques qui vont eux mêmes définir le j’aime, j’aime pas, le bien être ou le malaise etc. Car si nous nous connectons à cette “naissance”, ces interstices, c’est toute une maitrise que nous pouvons observer.
Et oui, les pertes de repères sont fréquentes. Qu’elles soient de nature physique (par ex la vieillesse, la maladie…), ou bien mentales (ex:avec les changements de situation rapide, perte de quelque chose que l’on tenait…), ou encore émotionnelle (ex: perte d’un ami ou d’un être cher…), la perte d’un ou de plusieurs repères peuvent nous déstabiliser. C’est souvent le changement brutal qui interfère dans notre quotidien qui vient causer le plus de “dégâts”.
Notre quotidien que l’on a soigneusement temporisé et qui ne respecte plus les variations des situations, du temps et de l’accélération. Afin de garantir la stabilité de notre petit univers, nous mettons quantité de stratagèmes en route et nous prenons bon nombre de ces repères comme acquis. L’embêtant, c’est que ces repères sont pour la plupart instables et nous essayons d’en faire notre permanence quotidienne.