Un sage hindou qui était en visite au Gange pour prendre un bain a remarqué un groupe de personnes criant de colère les uns après les autres.
Il se tourna vers ses disciples, a souri et a demandé :
– Savez-vous pourquoi les gens crient les uns sur les autres lorsqu’ils sont en colère ?
Les disciples y pensèrent pendant un moment et l’un d’eux dit:
– C’est parce que nous perdons notre calme que nous crions.
– Mais pourquoi criez vous quand l’autre personne est juste à côté de vous?, demanda le guide.
– Pourriez-vous tout aussi bien lui dire ce que vous avez à dire d’une manière plus douce?
Lorsqu’aucune des réponses des disciples n’était suffisamment satisfaisantes pour le sage, il a finalement expliqué:
– Quand deux personnes sont en colère l’une contre l’autre, leurs cœurs sont séparés par une grande distance. Pour couvrir cette distance, ils doivent crier, car sinon ils sont incapables de s’entendre l’un et l’autre. Plus ils sont en colère et plus ils auront besoin de crier fort pour s’entendre l’un et l’autre pour arriver à couvrir cette grande distance.
– Qu’est-ce qui se passe lorsque deux personnes tombent en amour? Ils ne crient pas à l’autre, mais ils se parlent doucement parce que leurs cœurs sont très proches. La distance entre eux est soit inexistante, soit très faible.
Le sage continua…
– Quand ils s’aiment encore plus, que se produit-il ? Ils ne se parlent pas, ils chuchotent et obtiennent encore plus de proximité et plus d’amour. Enfin vient un moment où ils n’ont même plus besoin de chuchoter, ils se regardent seulement l’un et l’autre et se comprennent.
Puis il regarda ses disciples et leur dit :
– Ainsi quand vous discutez les uns avec les autres ne laissez pas vos cœurs s’éloigner. Ne dites pas les mots qui vous éloignent davantage, ou bien viendra un jour où la distance sera si grande que vous ne trouverez pas le chemin du retour…
…Sagesse hindoue
Tout d’abord je tiens à préciser que le mot Coach est employé aujourd’hui à toutes les sauces, dans tous les degrés de la société, du moment que la personne prodigue des conseils, elle se proclame Coach.
Il est à noter que le titre de coach est bien évidemment différent du coach du dimanche que la plupart des personnes, thérapeutes ou encore enseignant(e)s se targuent d’être. Les Coachs qui prennent en considération les parties uniques et la globalité de l’être, puis de l’entourage, la relation directe ou indirect du sujet ou encore du patient, du client sont bien loin de ce qu’un coach du dimanche peut vous proposer et je parle même de certain qui sont certifiés, sponsorisés, cravatés, avec une jolie musculature ou encore avec un sourire des plus publicitaire ou mieux encore, avec un site au marketing poussé.
Avez-vous pensé, que s’il faut vous coacher systématiquement, c’est qu’il y a un travail plus profond à faire sur vous, à intégrer des bases qu’il vous manque, un regard sur la vie différent et à pratiquer une approche par l’amour, c’est à dire, à aimer d’abord, non point désirer, convoiter, enviez, visualisez etc, ou alors que ce n’est tout simplement pas fait pour vous ? Continuer la lecture
Nous nous sommes entêtés à nous protéger des actions extérieure.
Tout d’abord par le schéma parental qui nous inculque que tout ce qui est étranger n’est pas bon. La notion du clan, de la famille, l’appartenance aux valeurs nous pousse dans un cercle plus ou moins restreint.
Résultat: nous essayons, mais nous ne faisons pratiquement jamais
Le système scolaire qui nous nivèle dans une systématique d’apprentissage par le mental, la société qui tente à perdurer cette systématique, bref. Tout ceci ne nous apprend pas à développer nos acuités, nos possibilités à accueillir, à ressentir, à vibrer, à aimer, à apprécier…. la justesse en soi.
Rare sont les moments où nous pouvons nous centrer, ou plutôt rares sont les moments où il y a quelqu’un qui nous écoute parler de nous. Généralement ce sont tout au plus des personnes de même âge, des copines, des copains, des cousines, des cousins, des sœurs, des frères… Le schéma parental n’offre actuellement que rarement cette possibilité. Le schéma social très peu. Nous nous retrouvons un peu comme des billes de flipper ballotées, cassées, déchirées cherchant un peu de lumière en quelques personnes, quelques lieux….nous voulons voyager, nous voulons faire la fête pour oublier, pour nous oublier !
Nous foutons le camp ailleurs parce que chez nous… on ne connait pas vraiment.
Après cet étalage de négation, il est important de connaître que toutes les possibilités s’offrent à nous.
Toutes les possibilités !
Tous les outils, la chance, la lucidité, la beauté, le charisme, l’AMOUR et bien d’autres, sont en nous. C’est dans ces états que la réussite nous prend, nous enveloppe dans son manteau et nous accompagne.
OUI nous sommes capables !
OUI nous avons en nous toutes les capacités nécessaires pour arriver à percer le secret, qui n’en est pas un, de notre intérieur.
Nous portons toutes les vibrations en nous !
C’est dans les choix conscients ou inconscients de nos actes, de notre verbe, de nos pensées, qui vont définir que nous allons activer, ou plutôt vivre et mettre en mouvement, les énergies dont nous avons besoin pour vivre ces choix.
Au fil des expériences, des rencontres, des mélanges d’informations de tous types et de toutes parts, nous connectons des possibilités d’expression de descentes d’énergies, d’alchimies nouvelles, dans la matière.
Rendre l’expression possible des perceptions subtiles, que nous détenons dans leur totalité.
Outre les sens, les perceptions subtiles et les dimensions voisines, nous expérimentons sans cesse, ces possibilités. Que cela est possible !
“Ces gens qui se défoulent sur les autres”.
Le trop plein d’énergies peut mener à une extériorisation qui peut se traduire de différentes manières. Cela peut aller du repli sur soi, de la peur, de l’émotion mal gérée, en passant par l’extravagance, une humeur changeante d’heure en heure voir de minute en minute provoquer par un mal être un mouvement intérieur qui ne se pose pas, qui ne s’installe pas. Il peut y avoir de la provocation, de l’agacement, de la haine, de la violence, du contrôle, de la manipulation etc, mais aussi peut amener aux bouffées délirantes, montées de kundalini ou tout simplement à la perte de son contrôle ou encore de son pouvoir personnel. Ceci n’est, bien sûr, pas une liste exhaustive. Aussi il faut porter une grande attention sur la justesse de la situation vécue sur le moment présent, sans oublier la justesse de notre perception du moment. il faut pour cela bien se connaître.
Au cours de notre vie nous nous attachons à toutes les choses, les êtres et les événements qui se présentent à nous, que nous vivons, expérimentons à chaque instant. Mais comment notre esprit et nos énergies travaillent dans ces attachements ?
Notre esprit, tout d’abord. Emprunt de plusieurs parties, la partie incarnée ou ce que j’appelle les outils du mental, les émotions et les pensées, et la partie divine, notre nature véritable. Un esprit non calmé, non dompté ou encore non conquis, voit submerger la partie de nature véritable par ses pensées et ses émotions que l’on pourrait appeler mental ou égo. Ainsi sur chaque rencontre de choses, d’êtres ou d’évènements, l’esprit va poser des repères de sens (voir, toucher, sentir, gouter et écouter) ainsi que des repères d’émotions et de pensées.
La perception de l’autre est un peu ardue lorsqu’on cherche à la stabiliser. Normal, il n’y a rien à stabiliser, rien à retenir, à freiner, puisque tout change, tout est mouvement. La perception de l’autre est toujours suivant notre vérité, notre regard. Normal puisque nous vivons au travers de notre filtre mental, de nos 5 sens en superficialité, et ne voyons pas des situations mais bien des problèmes, des pensées et des émotions que nous gérons plus ou moins bien. Ou encore le plus souvent, exprimons de la gêne ou du plaisir, le j’aime, j’aime pas etc… Cela crée notre propre réalité et nous croyons que celle-ci est la réalité de tous les mondes. Et pourtant. Percevoir l’autre, c’est entrer dans l’univers du réel, l’univers du choix conscient, du choix du bien être. L’univers de la micro interrelation, l’infiniment petit et grand de l’inter-échange énergétique. Cet échange subtil, défini un ensemble de paramètres énergétiques qui vont eux mêmes définir le j’aime, j’aime pas, le bien être ou le malaise etc. Car si nous nous connectons à cette “naissance”, ces interstices, c’est toute une maitrise que nous pouvons observer.
Et oui, les pertes de repères sont fréquentes. Qu’elles soient de nature physique (par ex la vieillesse, la maladie…), ou bien mentales (ex:avec les changements de situation rapide, perte de quelque chose que l’on tenait…), ou encore émotionnelle (ex: perte d’un ami ou d’un être cher…), la perte d’un ou de plusieurs repères peuvent nous déstabiliser. C’est souvent le changement brutal qui interfère dans notre quotidien qui vient causer le plus de “dégâts”.
Notre quotidien que l’on a soigneusement temporisé et qui ne respecte plus les variations des situations, du temps et de l’accélération. Afin de garantir la stabilité de notre petit univers, nous mettons quantité de stratagèmes en route et nous prenons bon nombre de ces repères comme acquis. L’embêtant, c’est que ces repères sont pour la plupart instables et nous essayons d’en faire notre permanence quotidienne.
Par ces forts changements énergétiques de cycles planétaires, nos références tombent et nous amènent à reconsidérer, ainsi qu’à adapter, notre stabilité intérieure. Sans s’en apercevoir, notre esprit nous stabilise avec les références de nos cinq sens puis renforce ces références en accrochant des émotions, en nous tenant par ce qui est viscéral.
Lorsque ces références tombent, nous nous trouvons dans une situation de vide intérieur, de “dépression”.
Ainsi l’expérience de nos émotions et de nos sens se terminent et nous n’avons pas l’habitude de fonctionner sans ces références. Nous développons une souffrance qui n’est due qu’à cet attachement, à l’attachement de l’esprit aux phénomènes et non à notre véritable nature.
Nous décentrons notre attention vers l’extérieur, nous perdons le contrôle, nous projetons, la peur nous gagne, c’est foutu…
Pour celui qui fonctionne aux perceptions vibratoires des phénomènes et des personnes, ce vide n’est point un vide. Ce vide est une partie de lui même qui l’amène à faire des choix précis dans l’interstice de la matière en mouvement. Autrement dit, ce “vide” s’emplit pour la programmation de la matière, la symbiose intention / action, en conscience.
Pour sortir de nos souffrances créées par la saisie de notre mental nous avons, envers nous même, une obligation de conscience.
Sortir de l’ignorance et passer dans la connaissance de notre être nous confirme que nous avons, non seulement un corps physique avec la complexité de fonctionnement que nous commençons à connaître, mais aussi une multiplicité d’états de faits que nous ne pouvons pas écarter. Les perceptions dans leurs globalités, les 5 sens ainsi que l’intuition directe, puis la perception du monde dans sa globalité et sa simplicité. Les perceptions dans leurs subtilités et leurs énergies, les corps subtils, les structures, les dimensions, les passages multiples ou vortex, les connections intra ou extra humaines, les inter-liaisons énergétiques entre le physique et le subtil, la matière et ses relations cosmique etc.
Exister ! Ce n’est pas seulement combler nos désirs, combler nos peurs, palier à nos manques, mais c’est simplement désamorcer ces processus. Vider notre esprit afin qu’il puisse s’emplir de ce qu’il voit et non pas de ce qu’il interprète. Pour cela, une méthode simple et à la portée de tous, développer nos acuités, nos perceptions de nous même. Plonger dans notre être, au delà de nos infimes parties intimes dans un seul but, révéler notre nature véritable, être enfin et réellement dans un bien être total.
Tout d’abord je vous présente mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année 2010. Un nouveau cycle ! Que cette année soit l’année de la conscience. Conscience de qui vous êtes pour être en accord parfait avec votre énergie originelle. Puissiez-vous trouver l’éveil dans cette vie, puissiez-vous trouver l’amour de vous même dans cette vie.
Depuis quelques années l’être humain tente à devenir plus conscient, plus proche de sa nature véritable. Mais en est-il conscient ?
Que cela vienne de l’air du temps, de la mode, de la quatrième dimension, de la cinquième dimension, les énergies subtiles, les vibrations, les taux vibratoires s’affolent et de plus en plus “d’évènements” incroyables, parfois surnaturels, apparaissent. Incompréhensibles par le mental mais ô combien attirants de par leur mystère, nous sommes bousculés dans notre installation semi paisible et ô combien fragile créée par nos projections mentales.
Il n’y a pas d’observation de soi, de perception extra ou intra sensorielle sans un lâcher prise.
Mais est-il total, ce lâcher prise ?
Est-ce que l’esprit lâche totalement pour accéder aux perceptions ?
Et bien non. L’esprit d’analyse, l’esprit de comparaison envahi notre espace. Cet esprit va sans arrêt perturber la tranquillité de notre nature véritable, et notre regard se tourne vers l’extérieur et se perd dans nos projections. L’esprit est l’outil de la troisième dimension. C’est cet esprit qui maintien la dualité de qui nous sommes.
C’est pour cela que la méditation est un outil indispensable pour ramener cet esprit “festif”. En résumé, personne n’est chez soi, tout le monde fait la “fête” à l’extérieur de lui même, se perdant dans ses projections. L’esprit est un enfant turbulent qu’il faut apprendre à maîtriser. La méditation est le moyen le plus simple d’en venir à connaître son esprit.
Par la suite, s’il y a la connaissance de cet esprit, nous allons pouvoir mettre en pratique, en action, les moyens suffisants pour le contrôler.
La méditation c’est tout d’abord, tourner votre regard vers l’intérieur. Prenez conscience de votre être physique. Puis asseyez vous pour observer cet être turbulent qu’est votre esprit. Donner lui de l’espace car, pour exemple, s’il on veut contrôler une vache ou un mouton, vous lui donner une vaste prairie verte. Il en est de même pour cet esprit, donner lui de l’espace.
Donc, la première action dans votre méditation est de devenir spacieux afin qu’il n’y est pas de “débordement”. De l’espace vous en avez et il y en a.
Les Enfants.
Nous sommes sur notre chemin de connaissance, d’expérimentation qui nous semble bien rempli et que nous interprétons parfois comme très long. Puis nous nous posons un peu, là, sur le bord, afin de savourer le chemin parcouru et le savoir acquis. Et nous portons un regard sur ces enfants qui arrivent, que nous allons instruire de notre savoir, de nos pratiques énergétiques, de nos ressentis, de notre intuitions, de nos certitudes, de nos méditations…
Ah que les moments vont être délectables de sentir ces êtres avides de connaissance 🙂
Oui, sauf que ces petits êtres, qui arrivent, sont déjà pourvus, habillés, protégés, connectés, branchés aux énergies que nous avons essayé, pratiqué et connecté pendant tant d’années.
Tout d’abord je tiens à vous préciser que lorsque je vous parle de lieux géographiques ou de corps humains, il importe peu les termes employés, je parle de la même chose. En effet, le corps humain est un lieu géographique pour les vibrations qui sont implantées en lui. De même qu’un lieu géographique est une entité, puisque notre terre est vivante et que des milliards de vibrations la compose.
Commencez-vous à comprendre le cheminement de toutes les explications qui vous sont données ici sur ce site ? Comprenez-vous qu’il y a une possibilité, d’une autre manière de percevoir, de sentir, de regarder le monde dans lequel nous vivons ?
Il ne s’agit pas de poser un dogme, de vous emmener dans un délire psychotique, mais simplement de vous indiquer qu’il y a une autre possibilité de compréhension de qui vous êtes, une autre compréhension du réel que nous vivons. Car en observant nos ressentis, nos compréhensions, en nous ouvrant à d’autres possibilités, à d’autres regards, à d’autres vibrations, à d’autres énergies que ceux qui nous sont imposés par notre société, notre évolution n’en serait que plus facilitée. En nous offrons de l’espace dans notre mental, ceci est le même déclic, la même perception que lorsque nous regardons quelque chose depuis fort longtemps en deux dimensions et qu’en nous déplaçant de quelques centimètres, cette même chose nous apparaît en trois dimensions. Ceci ouvre notre compréhension d’une façon magistrale et nos perceptions s’en trouvent complètement chamboulées d’une façon joyeuse, d’un bonheur immense.
Il ne serait pas envisageable de faire état, ici, de comment fonctionne votre mental, car chaque mental a son propre fonctionnement, ces propres repères, qui ont été façonnés par le temps et les évènements que chaque sujet à vécu, interprété et intégré. Simplement et, pour garder la même fibre que le précédent message, je vous propose de continuer sur la lancée, de comment conscientiser, démonter, arrêter les engrenages de la souffrance.
Le plus important étant de conscientiser, de comprendre, d’intégrer et, de pratiquer aussi souvent que vous le pouvez cet enseignement, et surtout lorsque les situations de la vie vous confrontent avec lui. Il est bien entendu que cet enseignement n’est pas le seul pour arriver à la cessation de la ou des souffrances. Nonobstant le fait, qu’il est primordial que pour ressentir, de percevoir et faire grandir en soi le “qui nous sommes”, il est obligatoire de s’ouvrir à d’autres possibilités, de ne pas rester dans un même continuum. Cet extrait en est une partie, une porte qui vous est ouverte.
Depuis le début des grands changements qui s’opèrent depuis quelques mois, la terre change et ses “habitants” aussi. Nos connections demandent de plus en plus d’harmonie et de puissance. Une forme de netteté, de clarté d’existence. Ainsi nous montons, marche par marche, vers une vibration plus subtile, nous approchant de notre 5ième dimension. Cette dimension où nous devons reprendre conscience de notre aspect divin, nécessite un ajustement de notre structure énergétique et de notre physique ainsi que notre mental.
Un corps bien dans son véhicule est un corps bien préparé pour la journée. Faut-il rappeler les innombrables exercices physiques que nous pouvons effectuer chaque matin dès le réveil ? voir Mini stage de Bien être
Je vous rappelle également que des exercices énergétiques simples, sont également à effectuer.
En effet, nous habitons dans un véhicule, l’être humain, qui est doté de plusieurs fonctionnalités.
Des fonctions physiques, des fonctions émotionnelles, des fonctions énergétiques etc. Aussi, et pour garder ces fonctionnalités dans de bonnes conditions, il faut pratiquer. Nous avons l’habitude de pratiquer le sport pour le physique, la vie de tous les jours pour les émotions et nous n’en manquons pas en ce moment.
Mais qu’en est-il de la partie énergétique. Qu’en est-il de notre partie énergétique ?
Mais au fait, à quoi servent ces chakras, ces centres d’énergie ? Et comment fonctionnent-ils ?Ce sont des questions que tout le monde se pose et le sujet et très vaste. Je vais donc parler de ce que je connais et de ce que j’ai pu observer.
A quoi servent-ils ?
Je dirai que si nous n’avions pas ces centres d’énergies nous aurions une tout autre vie, une tout autre condition, et certes pas, une condition humaine. Ces vortex ou chakras favorisent le passage de certaines énergies qui nous nourrissent de vibration, de lumière et d’amour. Ils permettent aussi de “capter” les énergies environnantes. Ce sont, en quelque sorte, des portes qui permettent l’accès à notre être intime. Ces portes ont, bien entendu, des clefs et il n’est pas facile, voir quasi impossible, d’y entrer sans autorisation.
Comment fonctionnent-ils ?
La question est difficile car ils sont tous différents. Leurs alimentations ne sont pas égales, leur façon de tourner ne l’est pas non plus, et leur manière de vibrer diffère. Et tout cela peut changer de millièmes de secondes en millièmes de secondes. Enfin, leurs connexions ne sont pas pareilles et seul leurs inter-relations pourraient dessiner un semblant de modèle général.
Le nombre de ces centres, pour moi, est infini et je peux dire aujourd’hui, au bout de 16 ans de pratique énergétique sur “les corps humains”, que nous en avons au moins autant que d’articulation, que nous en avons aussi de plus subtiles et infinis au dessus de notre tête, que nous en avons également dans un nombre infini au dessous de nos pieds. Valable également sur les côtés puisque nous existons dans un univers tridimensionnel.
Ce que je peux vous dire également, c’est que ces centres énergétiques se modifient selon notre vécu, nos difficultés d’adaptation aux évènements qui nous rattachent directement, ou encore, aux choix conscients et inconscients que nous avons fait ou que nous prenons.
Je vous ai parlé, jusqu’à maintenant, de l’énergie des objets ainsi que des êtres vivants. Chaque chose dans ce monde génère une énergie et nous allons observer un effet tout à fait intéressant c’est à dire l’effet “énergie fantôme”. Ce que j’appelle l’effet énergie fantôme, c’est l’énergie qui reste pendant quelques instants à la même place, malgré que l’objet ou la personne se soit déplacée.
Lorsque vous percevez ces énergies, il est indispensable de prendre en compte les énergies de déplacement.
Prenons un exemple : Je me place à un endroit dans une pièce et reste pendant 15 minutes. Mon énergie va “imprégner” le lieu où je me trouve et ainsi laisser une empreinte. Après ces 15 minutes, je décide de me déplacer de quelques mètres et ainsi créer un bel effet d’énergie fantôme.
Certains objets, des plantes, des êtres humain, laissent plus ou moins d’effet d’énergie fantôme. J’ai remarqué que dans certain cas et parfois même dans certains lieux, ces énergies fantômes restent plusieurs heures voir plusieurs jours. En revanche dans d’autres cas, l’effet d’énergie fantôme se trouve amoindrie lorsque vous vous trouvez dans environnement fluide, des pièces rangées et bien aérées. L’interaction entre le lieux et les objets sont aussi importante que celle du lieu et de ses habitants.