Tant que les gens suivront des écrits ou des dires de couloirs (untel à dit ceci ou cela) sans en contrôler la véracité, la justesse, avec leur cœur, leur réflexion intérieure et leur intimité profonde, le côté obscur sera présent avec toutes ses variantes.
Le temps est ce monde. Ce monde est le temps. il peut être un ami du chercheur, il peut être un ennemi du chercheur. Si et lorsque un chercheur fait de ce monde une école où il doit appendre et grandir dans la vérité et la conscience de qui il est, alors le monde est un ami. Si et lorsque le chercheur fait de ce monde un lieu où il essai seulement de jouir des plaisirs des sens alors définitivement, ce monde, trouve être un ennemi.
Heureux est celui qui ne cherche pas à être.
Heureux est celui qui vie dans la simplicité.
Heureux est celui qui vie dans l’accueil.
Heureux est celui qui vie dans la vision claire et la présence en chaque instant.
L’eau, si vous ne l’agitez pas, deviendra claire.
De même l’esprit inaltéré, deviendra clair et trouvera la paix, la joie et la félicité.
Proverbe Tibétain.
Si vous détestez une personne, alors vous êtes vaincu par elle. Confusius
Te faire confiance est un plus grand compliment qu’être aimé. Leo Tolstoy
Le meilleur moyen de se connaître, c’est de s’observer !
Élève tes mots, pas ta voix. C’est la pluie qui fait pousser les fleurs pas le tonnerre. RUMI
« Pour ceux qui pensent que les choses naissent, demeurent, et disparaissent, il faut dissiper ce malentendu en comprenant la survenue en dépendance et, le fait que tous ce que nous percevons comme caractéristiques ne sont que des étiquettes ». Nāgārjuna
Vous ne comprenez au-dehors de vous que ce que vous avez déjà compris en vous…
Soyez sûrs que la totalité de l’humanité est toujours en vous, plus ou moins exprimée dans des équilibres différents.
Mais ce que vous refusez d’accepter consciemment en vous, vous refusez de l’accepter consciemment au dehors parce que le dehors vous renvoie à vous-même et vous oblige à refuser encore plus.
Si vous avez tout accepté en vous, si vous avez vu consciemment que l’univers entier était en vous, le meilleur du meilleur, le pire du pire, tout, – vous connaissez au vrai sens du mot connaître qui signifie « être consciemment », tout, et par conséquent plus rien ne vous est étranger ; plus rien.
Le criminel n’est pas un autre pour vous : vous l’avez rencontré en vous.
L’idéaliste n’est un autre pour vous : vous l’avez rencontré en vous.
Le mystique n’est pas un autre pour vous : vous l’avez rencontré en vous.
Le vaniteux n’est pas un autre pour vous : vous l’avez rencontré en vous.
C’est votre conscience qui accepte la totalité de ce qui est en vous et qui accepte ce qui est au dehors de vous.
Et vous avez découvert que la valeur suprême, c’est cette conscience-sans-ego elle-même, en laquelle et par laquelle tout est résolu – tout – puisqu’elle est libre.
Seule cette conscience est vraiment vous-même.
Vous avez traversé une étape où la conscience de soi habituelle, endormie, a paru en effet être démantelée, parce que tous les aspects de vous ont été présents au même moment, au lieu qu’un seul vienne à la surface.
Dans la pleine acceptation de ces contradictions, vous avez découvert la totalité et vous avez découvert l’unité.
(Arnaud Desjardins – Au-Delà du Moi)
maître Dilgo Khyentsé Rinpoché avait coutume de dire : « Plus vous écoutez, plus vous entendez ; plus vous entendez, plus votre compréhension s’approfondit. ».
Certaines personnes pensent que, lorsqu’elles méditent, elles ne devraient avoir aucune pensée, aucune émotion. Si pensées ou émotions se manifestent, cela les contrarie, les fâche contre elles-mêmes et les persuade qu’elles ont échoué. Rien n’est moins vrai. Ainsi que le dit un proverbe tibétain : « C’est beaucoup demander que de vouloir de la viande sans os et du thé sans feuilles. » Tant que vous aurez un esprit, des pensées et des émotions s’élèveront. Sogyal Rimpoché
/ Je prends refuge auprès du Bouddha en souhaitant que tous les êtres sensibles comprennent profondément la grande voie et prennent la plus ferme détermination;
/ Je prends refuge auprès du Dharma en souhaitant que tous les êtres sensibles étudient profondément le Sūtra Piṭaka et que leur intelligence soit aussi vaste que l’océan;
/ Je prends refuge auprès du Sangha en souhaitant que tous les êtres sensibles se comprennent bien et s’entendent à merveille sans rencontrer aucun obstacle.
Quand vous prenez les choses, c’est à cause d’une soif, d’une appropriation, d’une saisie ; vous devriez perdre cela, et le perdre entièrement, au-dessus, au-dessous, tout autour, et à l’intérieur. Qu’importe ce que vous saisissez, dès que vous saisissez vous êtes en train de perdre votre liberté. Comprenez-le et ne saisissez rien. Alors, vous cesserez d’être tel que vous fait l’attachement, lié au pouvoir de la mort, de Mara. Bouddha
Il est important, quand vous pratiquez la méditation, de ne pas vous laisser entraîner à un commentaire mental, ni à une analyse ou à un bavardage intérieur.
Ne confondez pas le commentaire mental de votre esprit – « maintenant j’inspire, maintenant j’expire » – avec l’attention.
Ce qui compte, c’est la pure présence. Ne vous concentrez pas trop intensément sur la respiration ; accordez-lui à peu près 25% de votre attention, laissant les 75% restant dans une détente calme et spacieuse. A mesure que votre respiration deviendra plus consciente, vous serez davantage présent ; vous rassemblerez tous les aspects fragmentés de vous-même et trouverez la plénitude.
Sogyal Rimpoché – extrait du chapitre 5 du Livre tibétain de la vie et de la mort
On pourra dire, noter, autant de mots pour décrire les événements, les choses, les personnes c’est qu’il y a encore notre esprit qui s’attache, qui distortionne, qui souffre … je crois que lorsque le silence de l’esprit est au rendez vous et que l’évidence sans mot, l’évidence d’un ressenti, l’évidence d’être là au bon endroit s’installe, alors c’est que la justesse de vivre est là, c’est le bonheur qui se pratique…Pas habituel pour des humains sans cesse dans le bruit et la fuite du moment !
On pourra dire, noter, autant de mots pour décrire les événements, les choses, les personnes c’est qu’il y a encore notre esprit qui s’attache, qui « distortionne », qui souffre … je crois que lorsque le silence de l’esprit est au rendez vous et que l’évidence sans mot, l’évidence d’un ressenti, l’évidence d’être là au bon endroit s’installe, alors c’est que la justesse de vivre est là, c’est le bonheur qui se pratique…Pas habituel pour des humains sans cesse dans le bruit et la fuite du moment !
On s’enrichit de ce que l’on donne,
On s’appauvrit de ce que l’on prend.
L’important n’est pas de convaincre,
Mais de donner de la justesse.
Le but n’est pas de séduire,
Mais de briller par notre cœur, notre présence.
La simplicité de s’accompagner, de s’aimer
La douceur d’une respiration
La souffle d’un geste.
Ainsi demeure la simplicité d’être soi.
Aimer, ce n’est pas mutiler l’autre, le dominer, mais l’accompagner dans sa course, l’aider.
L’amour vrai est le contraire de la volonté de puissance.
Aimer, c’est réussir à donner à l’autre confiance en lui.
Yvan amar
Il n’y a pas plus grand voyage que celui de la vie.
Alors pourquoi partir ?
Soi ton corps, soi ton esprit.
Soi ton âme et ton énergie.
Il n’y a pas plus grand voyage, que celui de ta vie.