Par ces forts changements énergétiques de cycles planétaires, nos références tombent et nous amènent à reconsidérer, ainsi qu’à adapter, notre stabilité intérieure. Sans s’en apercevoir, notre esprit nous stabilise avec les références de nos cinq sens puis renforce ces références en accrochant des émotions, en nous tenant par ce qui est viscéral.
Lorsque ces références tombent, nous nous trouvons dans une situation de vide intérieur, de “dépression”.
Ainsi l’expérience de nos émotions et de nos sens se terminent et nous n’avons pas l’habitude de fonctionner sans ces références. Nous développons une souffrance qui n’est due qu’à cet attachement, à l’attachement de l’esprit aux phénomènes et non à notre véritable nature.
Nous décentrons notre attention vers l’extérieur, nous perdons le contrôle, nous projetons, la peur nous gagne, c’est foutu…
Pour celui qui fonctionne aux perceptions vibratoires des phénomènes et des personnes, ce vide n’est point un vide. Ce vide est une partie de lui même qui l’amène à faire des choix précis dans l’interstice de la matière en mouvement. Autrement dit, ce “vide” s’emplit pour la programmation de la matière, la symbiose intention / action, en conscience.