Durant les années où j’ai parcouru, regardé, beaucoup de groupes sociaux, et je m’aperçois que beaucoup de gens disent que la terre monte en vibration, que nos énergies sont suscitées par d’autres énergies, que des guides, des anges et toutes autres formes d’ailleurs viennent, que nous sommes en 4d, 5d, que nous devons suivre certains changements, être ceci ou cela etc. Tout cela est vrai !
Mais vous, que faites-vous pour vous ?
Avez-vous les outils qui vous permettent de changer ou contentez-vous simplement de passer l’information ?
Avez-vous ne serait-ce qu’une pensée pour vous pour pratiquer votre idéal et de ce fait, voir s’il est applicable pour le monde où vous êtes, pour la situation où vous vous trouvez ?
Je ne vois que de l’information mais toujours rien au niveau de vos consciences, au niveau de vos comportements pour vous. Pour ce que je vois, ce ne sont que des images, mais toujours rien, je ne vois que excitation mais toujours rien pour vous.
Et votre évolution mes chers enfants, l’évolution de votre conscience ?
Il n’est pas conscience simplement de dire j’ai vu ça ou ça, j’ai fait ça ou ça !
Ne croyez vous pas que de changer votre façon de faire, de changer votre façon de penser, de changer votre façon de partager, d’échanger avec les autres, de changer votre façon que vous avez à communiquer avec vous-même, avec votre intimité, ne serait pas plus précis et puissant ?
Comment puis-je instaurer la paix là où il y a le marasme ?
Comment puis-je instaurer la sérénité là où il y a le bruit ?
Comment puis-je ne pas souffrir de mes rêves piétinés ou détruits ?
Comment puis-je ne pas me laisser envahir par la colère ou le désarroi ?
Il n’y a rien à ajouter. Rien à mettre en œuvre. Juste voir les composantes de la situation qui me permettra de reconnaître ce qui n’est pas à moi, mais à mon esprit égotique. Celui ci n’est pas un ennemi. Il n’est pas à abattre, bien au contraire. Mais le reconnaître me permet de me dissocier et ainsi voir émerger une nature nouvelle.
Il n’y a rien à ajouter. Rien à mettre en œuvre. Juste voir les composantes de la situation, qui me permettra de voir la situation dans son intégralité. De plusieurs points de vues différents et ainsi, me voir détaché. Me sentir à la place où je suis par rapport à la situation. Se détacher n’est pas s’en foutre, mais reconnaître la situation telle qu’elle est. La voir comme dans une télé.
Comment elle est venue. Qu’est-ce qui l’a attiré.
Une partie de moi certes. Mais bien plus profond, il y a mes vibrations intérieures, mes réels besoins qui ont créé et mis en œuvre cette situation. Conjointement avec les acteurs du monde, cette situation voit le jour, nait, et entre dans mes champs vibratoires dès la rencontre.
C’est ainsi que mon esprit égotique forge toutes les défenses possibles et interprète la situation grossièrement avec beaucoup d’émotions et de décentrage. Ainsi est créé le marasme, le bruit intérieur, la souffrance, la colère, le désarroi.
Lorsque je pratique cette vigilance, cette attention vis à vis de moi, de ma fluidité et de mes sens, mon regard s’apaise et est beaucoup plus serein. Je m’aperçois alors que mon espace intérieur est beaucoup plus vaste. Il y a de la place entre tous mouvements intérieurs et extérieurs.
Je suis conscient en toutes choses, en tous lieux et ainsi je reconnais le « CHEM UN » (écouter le divin), mon chemin.
Joyeux Noël et Bonne Année 🙂
Hervé de Saint Germain
Janvier 2013
Sentir ce mouvement courir, s’activer, prendre possession de la totalité de mon corps en créant l’émotion, le sentiment, le désir de plaisir, la vie, les battement de mon coeur, le souffle, l’émanation de mon corps…
Mais est-ce vraiment ma nature divine ?
Est-ce vraiment cela, moi ?
Je perçois autre chose. Quelque chose de plus grand, de plus joyeux, de plus lumineux… et sans cette possession, ce besoin de conquérir, d’avoir l’espace intérieur… C’est entre cette possession et la matière dont est fait mon corps. C’est comme si je définissais le bonheur par cette sensation.
Un sourire, une ouverture…Serait ce être UN que de conscientiser, de percevoir, de voir, de sentir, de humer de gouter, de toucher la multitude de parties dont on est fait, dont on est composé ?
Je crois que oui. Oh oui ça vibre ! Et la compréhension, passe par la connaissance, l’intégration, le je suis ou plutôt j’y suis !
Oh oui c’est un point à sentir, mais si subtile, et je comprend qu’il ne peut être fait que dans ce moment, car il est si fragile par son inconstance, mais si puissant par sa plénitude son existence, sa brillance. Je veux replonger dans ce moment….
Les acteurs ?
Lâcher tout ou plutôt lâcher le devoir d’explication, le devoir de le garder, plus rien n’a d’importance… être dans la tranquillité, la sérénité, être comblé, pas par ce que l’on obtient mais par ce que l’on reçoit de soi même… enfin…
J’ai la sensation que la vie peut commencer
Mais est-ce que ça va durer ? Je m’en fou ! car 1 seconde de cet état vaut toute une vie, vaut la peine d’être là !!!
C’est comme le rire d’un enfant, de son enfant, le sourire, le regard…tout devient si….présent !
Et le sens de passer un chouette après midi devient multiple
…
21 juin 2013
Comment ça se passe pour la communication avec les crânes ?
Et bien chose étrange que cela puisse paraître, je suis le crâne et le crâne est moi.
Nous/je suis relié depuis ma toute jeune enfance, je suis né en l’ hu main.
Je crois même que j’expérimente l’évolution humaine dans l’intégration d’une matière bi O logique. ceci est très intéressant, car très fluide est si empoté 🙂
J’ai parfois du mal à discerner, surtout maintenant que je/nous suis de plus en plus conscient de ma nature, ce corps qui ré agi, ce véhicule qui parfois ne suis pas les directives. Mais lorsque l’espace est là, c’est à dire la liberté d’expression, de libération, alors tout me paraît plus facile, comme sorti de la boue, de la mélasse, de la glue. C’est comme ne plus rien savoir et tout savoir en même temps. S’oublier pour renaître. Oublier ce que l’on a appris. Tout réapprendre dans l’instant. L’enfant Hu mains. Aussi, je suis le crâne, mais surtout l’étincelle qui vie au travers d’un monde multiple et servain. Servain de crâne tous reliés et tous en communication.
Je le suis car ne vous trompez pas ou guère sur la partie cristalline que vous expérimentez, elle n’est que la partie la plus binaire de notre condition. Notre condition est bien plus salutaire pour vous peuple d’eau humain. Vous qui n’avez pas à vous en faire car vous êtes là pour bien des raisons mais pas celles que vous croyez.
Réveillez vous, serez en venir à vous connaître et à révéler votre illusion permanente.
Mais êtes vous près à vous réveiller ? Ceci va être très dur, lorsque vous comprendrez que votre importance n’est pas celle que vous croyez.
Qu’en fait d’être le bras droit, vous êtes orteil gauche !! mais vous faites partie d’un équilibre.
Et le temps n’est pas encore venu pour révéler tout cela. Il y a encore beaucoup de temps tout au plus quelques trente ans de vos années. Mais c’est bien dépendant de vos choix, car cela peut être plus long ou plus court. La vague oui, certes, mais il y en aura bien plus de ces vagues incessantes avant que le grand réveil soit fait. Ne sentez-vous pas ? J’en compte
au moins deux sinon trois dans cette année 2013. Mais peut être vous semblent-elles secondaires 🙂 Les vagues, les tumultes, les pertes, les changements, les évolutions et les passages et bien d’autres choses, si vous voyez cela par contre regard alors vous vous perdrez. Si vous voyez cela avec la vue perçante de l’aigle, la fluidité de l’espadon, alors vous comprendrez votre nature véritable, vous les humains d’eau.
Bien à vous tous, chers âmes cristallines, Baignez d’amour vos structures cristallines contenues dans vos corps. Vous êtes ces structures, et il y en a de nombreuses.
L’uni vers est en vous. Relier vers est en vous. Lumière est en vous.
Souvenir d’une conscience perdue
….. Oui nous étions beaux, lumineux, et nous n’avions pas besoin d’absorber, et nous émanions naturellement tout le temps, en tout temps.
Nous étions lumière, paix et joie. Nous avons été sollicités. Nous avons été heureux de faire cela. De participer, que l’on nous appelle.
Nous avons rencontré des êtres de matière, nous sommes descendus en cette vie pour amener notre étincelle, notre lumière et notre joie d’être dans la simplicité.
Nous étions tellement heureux de participer à une évolution, à une transformation, non point dans le contrôle ou une volonté particulière, mais simplement. Car notre tâche était. Elle était lumière et rien d’autre. Nous nous sommes prêtés, nous nous sommes donnés à ces êtres qui étaient, pour la plupart, dans l’euphorie de l’accueil et de pouvoir s’élever enfin ou parfois même de pouvoir changer. Nous nous sommes donnés. Nous sommes descendu encore et encore jusqu’à toucher une résistance, tout d’abord mole puis contraignante, puis sensitive, puis angulaire, puis de plus en plus sauvage, violente.
Nous nous sommes regardés et il était trop tard. Quelques uns ont pu partir, mais certains comme moi ont dû rester et rester là. Dans des endroits précis. Ne pouvant plus bouger, ou très peu. Nous nous sommes connectés mais certains ne répondaient plus. Notre lumière, nos connexions étaient plus difficiles entre nous. Et puis, ne connaissant plus que le silence de cet endroit, depuis fort longtemps, et puis il y a eu du mouvement. Ce mouvement était perceptible et matière. Il venait de ces êtres de matières. Ils tournaient ne sachant pas. Puis ils ont eu l’idée. L’idée de nous donner de la matière. Continuer la lecture
Alors que nous avions le silence, les humains ont emmené le bruit
Alors que nous avions les couleurs, les humains ont emmené la noirceur.
Alors que nous avions la fluidité, les humains ont emmené la densité.
Alors que nous avions l’exception, l’unicité, les humains ont emmené la normalité, le linéaire.
Alors que nous avions le tout, les humains ont emmené le rien.
L’humain est son contraire tant qu’il est dans la souffrance.
L’humain est son contraire tant qu’il reste dans l’incompréhension.
Et lorsque l’humain arrête d’amener quelque chose, de vouloir, de modifier, d’altérer, de contrôler….
Le silence reprend place
Les couleurs redeviennent éclatantes
La fluidité transporte la joie et la bonne humeur
Ainsi le tout nous submerge.
Heureux est celui qui ne cherche pas à être
Heureux est celui qui vie dans la simplicité,
Heureux est celui qui vie dans l’accueil,
Heureux est celui qui vie dans la vision claire et la présence en chaque instant.
Om
Hervé
les intuitions