Voici une nouvelle méditation guidée du deuxième cycle.
La respiration subtile. Respirer avec son corps, ses poumons, son ventre sont des réflexes naturels. Porter son attention sur d’autres points plus subtils sur notre corps et les faire respirer est une autre manière de percevoir notre monde, une autre manière de vivre son corps. Nous avons un corps physique avec sa superficialité que nous faisons travailler chaque jour en plus ou moins conscience.
La marche, le sport, nos 5 sens, les émotions sont des moyens que nous utilisons quotidiennement, mais nous ne faisons travailler notre subtilité que très rarement. Nos corps subtiles ont besoin de notre présence pour nous faire vivre, pour nous aider à nous nourrir mais aussi à soigner notre physique. S’ils ne sont pas entretenus, ils sont laissés à n’importe quelles autres énergies et de grandes répercutions sont à prévoir sur notre corps physique.
La plus grande source de déséquilibre de notre corps ? La non présence à soi. C’est à dire la non présence à son corps et à son esprit.
La plus grande source de polution ? Nos pensées négatives.
Mais commençons par la présence à soi. Par la respiration, nous pouvons accéder aux parties de notre corps que nous n’occupons pas dont nous n’avons pas la conscience. Respirer avec ses parties subtiles est un gage d’espace intérieur, de tranquilité et de sérénité.
Un professeur tend un billet de 20 € et demande à ses élèves :
écoutez l’article !
L’autre dans notre intimite 1
On ne prend plus le temps. Nous sommes devenus des consommateurs de tout. Lorsque nous avons un compagnon ou une compagne nous devenons parfois même consommateur de l’autre.
Il y a quelques temps, j’ai entendu dire qu’une personne âgée avait dit : « De mon temps, nous réparions ce qui était cassé ou abimé. Aujourd’hui nous ne réparons plus, nous jetons ».
C’est valable aussi bien dans notre consommation quotidienne que dans nos relations. Lorsque quelque chose ne va pas, on le change. Et la dualité c’est que plus nous vieillissons, plus nous prenons de l’âge, plus le désir de changer les partie non matérielle, spirituelle s’éloignent, pour devenir un désir de changement matériel puis, plus aucun changement. Notre évolution ne présente plus d’intérêt ou plutôt notre évolution se cantonne à avoir, à posséder et à utiliser. Nous nous encroutons dans l’idée que de toute manière nous ne sommes pas seul puisque nous sommes accompagnés, que nous avons un confort et puis finalement, on se dit que ce confort est pas mal du tout. Nous créons donc une zone de confort dans laquelle nous nous complaisons. Autant de situations que nous procrastinons. Mais ce n’est pas comme cela, que nous résolvons notre mal être ou, que nous prenons conscience que nous ne sommes pas à notre réelle place ou encore que la personne qui partage notre quotidien ne favorise pas ou empêche notre liberté, notre évolution ou encore notre espace et notre place. Dans tous les cas, il manque quelque chose pour parfaire à notre bonheur, pour parfaire à notre quiétude intérieure.
Il faut savoir que comme pour toutes les situations mal gérées, ces situations perdurent énergétiquement, c’est à dire que l’information, l’intention subtile est toujours présente dans notre corps et va maintenir les tensions à leur maximum tant que la compréhension ne se fera pas. Compréhension au niveau de l’esprit mais aussi compréhension au niveau vibratoire, c’est à dire au niveau subtile. Après on s’étonne que des personnes fassent des cancers, des infarctus… Non non, ces faits ne sont pas toujours liés à l’alimentation. L’alimentation fait partie des facteurs aggravants parfois même révélateurs. La cause étant que la situation ou le schéma est mal géré dès le départ, et notre corps en porte les stigmates invisibles au départ, mais rendu visible par le temps. Les rides, les déformations de certaines parties du corps, sinon dans sa totalité, le caractère de la personne et aussi l’intérieur du corps avec sa fluidité, son absorption, sa digestion, sa circulation etc. Tout se modifie, tout se transforme selon la stabilité plus ou moins prononcée de notre esprit et de se fait de notre corps.
Si nous rentrons un peu plus loin dans la perception de l’autre, du conjoint, nous nous rendrons compte que nous allons découvrir énormément d’information le ou la concernant mais aussi nous concernant. Le but étant de rester vigilant par rapport à nous, dans la conscience de qui nous sommes et de ce qui est bon pour notre corps, notre esprit, notre âme et notre intention.
Mais sommes-nous toujours en phase avec cela en étant accompagnés ? Sommes-nous toujours en phase avec notre bien aimé(e) ?