Un des hôpitaux les plus reconnus au monde change sa vision au sujet du cancer. L’hôpital John Hopkins est un hôpital universitaire situé à Baltimore dans l’État du Maryland aux États-Unis. Fondé grâce à un don de John Hopkins, il est aujourd’hui un des hôpitaux les plus reconnus au monde et est classé pour la 17e année consécutive en première place du classement des meilleurs hôpitaux des États-Unis.
Après de nombreuses années à dire aux gens que la chimiothérapie est l’unique manière de traiter et éliminer le cancer, l’hôpital John Hopkins commence à dire aux gens qu’il y a d’autres alternative que la chimio:
Une manière efficace de combattre le cancer est de ne pas donner à manger aux cellules cancéreuses avec ces aliments dont elles ont besoin pour se multiplier. alors voici de quoi…
Au cours de notre vie nous nous attachons à toutes les choses, les êtres et les événements qui se présentent à nous, que nous vivons, expérimentons à chaque instant. Mais comment notre esprit et nos énergies travaillent dans ces attachements ?
Notre esprit, tout d’abord. Emprunt de plusieurs parties, la partie incarnée ou ce que j’appelle les outils du mental, les émotions et les pensées, et la partie divine, notre nature véritable. Un esprit non calmé, non dompté ou encore non conquis, voit submerger la partie de nature véritable par ses pensées et ses émotions que l’on pourrait appeler mental ou égo. Ainsi sur chaque rencontre de choses, d’êtres ou d’évènements, l’esprit va poser des repères de sens (voir, toucher, sentir, gouter et écouter) ainsi que des repères d’émotions et de pensées.
La perception de l’autre est un peu ardue lorsqu’on cherche à la stabiliser. Normal, il n’y a rien à stabiliser, rien à retenir, à freiner, puisque tout change, tout est mouvement. La perception de l’autre est toujours suivant notre vérité, notre regard. Normal puisque nous vivons au travers de notre filtre mental, de nos 5 sens en superficialité, et ne voyons pas des situations mais bien des problèmes, des pensées et des émotions que nous gérons plus ou moins bien. Ou encore le plus souvent, exprimons de la gêne ou du plaisir, le j’aime, j’aime pas etc… Cela crée notre propre réalité et nous croyons que celle-ci est la réalité de tous les mondes. Et pourtant. Percevoir l’autre, c’est entrer dans l’univers du réel, l’univers du choix conscient, du choix du bien être. L’univers de la micro interrelation, l’infiniment petit et grand de l’inter-échange énergétique. Cet échange subtil, défini un ensemble de paramètres énergétiques qui vont eux mêmes définir le j’aime, j’aime pas, le bien être ou le malaise etc. Car si nous nous connectons à cette “naissance”, ces interstices, c’est toute une maitrise que nous pouvons observer.
Et oui, les pertes de repères sont fréquentes. Qu’elles soient de nature physique (par ex la vieillesse, la maladie…), ou bien mentales (ex:avec les changements de situation rapide, perte de quelque chose que l’on tenait…), ou encore émotionnelle (ex: perte d’un ami ou d’un être cher…), la perte d’un ou de plusieurs repères peuvent nous déstabiliser. C’est souvent le changement brutal qui interfère dans notre quotidien qui vient causer le plus de “dégâts”.
Notre quotidien que l’on a soigneusement temporisé et qui ne respecte plus les variations des situations, du temps et de l’accélération. Afin de garantir la stabilité de notre petit univers, nous mettons quantité de stratagèmes en route et nous prenons bon nombre de ces repères comme acquis. L’embêtant, c’est que ces repères sont pour la plupart instables et nous essayons d’en faire notre permanence quotidienne.
Pour sortir de nos souffrances créées par la saisie de notre mental nous avons, envers nous même, une obligation de conscience.
Sortir de l’ignorance et passer dans la connaissance de notre être nous confirme que nous avons, non seulement un corps physique avec la complexité de fonctionnement que nous commençons à connaître, mais aussi une multiplicité d’états de faits que nous ne pouvons pas écarter. Les perceptions dans leurs globalités, les 5 sens ainsi que l’intuition directe, puis la perception du monde dans sa globalité et sa simplicité. Les perceptions dans leurs subtilités et leurs énergies, les corps subtils, les structures, les dimensions, les passages multiples ou vortex, les connections intra ou extra humaines, les inter-liaisons énergétiques entre le physique et le subtil, la matière et ses relations cosmique etc.
Exister ! Ce n’est pas seulement combler nos désirs, combler nos peurs, palier à nos manques, mais c’est simplement désamorcer ces processus. Vider notre esprit afin qu’il puisse s’emplir de ce qu’il voit et non pas de ce qu’il interprète. Pour cela, une méthode simple et à la portée de tous, développer nos acuités, nos perceptions de nous même. Plonger dans notre être, au delà de nos infimes parties intimes dans un seul but, révéler notre nature véritable, être enfin et réellement dans un bien être total.
Tout d’abord je vous présente mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année 2010. Un nouveau cycle ! Que cette année soit l’année de la conscience. Conscience de qui vous êtes pour être en accord parfait avec votre énergie originelle. Puissiez-vous trouver l’éveil dans cette vie, puissiez-vous trouver l’amour de vous même dans cette vie.
Depuis quelques années l’être humain tente à devenir plus conscient, plus proche de sa nature véritable. Mais en est-il conscient ?
Que cela vienne de l’air du temps, de la mode, de la quatrième dimension, de la cinquième dimension, les énergies subtiles, les vibrations, les taux vibratoires s’affolent et de plus en plus “d’évènements” incroyables, parfois surnaturels, apparaissent. Incompréhensibles par le mental mais ô combien attirants de par leur mystère, nous sommes bousculés dans notre installation semi paisible et ô combien fragile créée par nos projections mentales.
Il n’y a pas d’observation de soi, de perception extra ou intra sensorielle sans un lâcher prise.
Mais est-il total, ce lâcher prise ?
Est-ce que l’esprit lâche totalement pour accéder aux perceptions ?
Et bien non. L’esprit d’analyse, l’esprit de comparaison envahi notre espace. Cet esprit va sans arrêt perturber la tranquillité de notre nature véritable, et notre regard se tourne vers l’extérieur et se perd dans nos projections. L’esprit est l’outil de la troisième dimension. C’est cet esprit qui maintien la dualité de qui nous sommes.
C’est pour cela que la méditation est un outil indispensable pour ramener cet esprit “festif”. En résumé, personne n’est chez soi, tout le monde fait la “fête” à l’extérieur de lui même, se perdant dans ses projections. L’esprit est un enfant turbulent qu’il faut apprendre à maîtriser. La méditation est le moyen le plus simple d’en venir à connaître son esprit.
Par la suite, s’il y a la connaissance de cet esprit, nous allons pouvoir mettre en pratique, en action, les moyens suffisants pour le contrôler.
La méditation c’est tout d’abord, tourner votre regard vers l’intérieur. Prenez conscience de votre être physique. Puis asseyez vous pour observer cet être turbulent qu’est votre esprit. Donner lui de l’espace car, pour exemple, s’il on veut contrôler une vache ou un mouton, vous lui donner une vaste prairie verte. Il en est de même pour cet esprit, donner lui de l’espace.
Donc, la première action dans votre méditation est de devenir spacieux afin qu’il n’y est pas de “débordement”. De l’espace vous en avez et il y en a.